Que penser des nouveaux logos et applications nutrition-santé ?

Afin d’aider les consommateurs à évaluer la qualité d’un aliment, de nombreux logos et applications de notation des produits alimentaires se sont développés ces dernières années.

Le FFAS dresse un panorama exhaustif du choix qui s’offre aux consommateurs en pointant du doigt un certain nombre de limites, notamment la non prise en compte de la taille des portions, de la fréquence de consommation, des autres composants du repas ou encore de la globalité de l’acte alimentaire. La question du fondement scientifique de tels outils est également soulignée.

La présentation sous forme de tableaux comparatifs et/ou de fiches pratiques pour les applications est intéressante pour aider professionnels et consommateurs à faire un choix éclairé.

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Le microbiote intestinal, notre nouvel allié santé

Dans son dernier numéro, la revue Ressources de l’INRAE fait la part belle au microbiote intestinal, notre nouvel allié santé.

Les découvertes récentes confirment en effet que la santé de notre microbiote est indispensable au quotidien (pour la digestion des fibres ou la production de certaines vitamines par exemple) comme sur le long terme (prévention de l’obésité, du diabète de type 2, de l’intestin irritable, etc.). Elle repose sur le bon fonctionnement de la symbiose entre le microbiote et son hôte.

Prendre soin de cette symbiose, et éviter une dysbiose, repose sur des mesures simples mais à mettre en œuvre dès la naissance : de l’importance des 1000 premiers jours au défi des aliments fermentés, tout un programme !

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Notoriété du Nutriscore chez les adolescents

1200 adolescents ont été interrogés via internet en octobre 2021 afin de mesurer la notoriété, la perception et l’impact sur leur comportement d’achat du Nutriscore.

Les résultats montrent que ce logo est bien connu, perçu et compris chez les jeunes, 97% d’entre eux déclarant avoir déjà vu ou entendu parler du Nutriscore et les deux tiers indiquant spontanément que ce logo donne des informations sur la qualité nutritionnelle des aliments.

L’étude confirme enfin que les adolescents agissent à la fois en tant que prescripteurs et acheteurs de produits alimentaires, ils constituent donc une cible privilégiée pour les actions de prévention nutritionnelle.

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Plein feu sur les alertes sanitaires

Plusieurs alertes sanitaires ont récemment fait la une de l’actualité en France. Pourtant notre système de contrôle serait l’un des plus performants au monde avec des vérifications de la production à la distribution en passant par les frontières.

Dans un objectif de clarté et de réassurance, le ministère de l’Agriculture présente le fonctionnement de notre système d’alerte sanitaire : des objectifs de leur mise en œuvre, aux différents acteurs qui y participent (DGAL, DGCCRF, etc.), tout est fait pour garantir la sécurité des consommateurs. Une infographie reprend les différents éléments.

En outre, des outils pratiques, comme le guide d’aide à la gestion des alertes alimentaires, sont proposés, de même qu’un lien vers RappelConso, le site des alertes de produits dangereux, actualisé en permanence.

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Accompagner Egalim en restauration collective

La loi Egalim (2018), complétée en 2021 par la Loi Climat et Résilience, prévoit plusieurs mesures pour améliorer la qualité des repas servis par la restauration collective.

Pour faciliter leur mise en œuvre, un travail collaboratif entre le CNRC (Conseil National de la Restauration Collective), le CNFPT (Centre National de la Fonction Publique Territoriale) et le DINUM (Délégation Interministérielle au NUMérique) a permis la réalisation de plusieurs outils disponibles sur le site du ministère de l’Agriculture :

- la plateforme gouvernementale « Ma Cantine » qui aide à l’autodiagnostic, la planification et propose un tableur de suivi des achats,

- des outils informatifs à télécharger : un livret de recettes végétariennes, un modèle de convention de dons aux associations, un guide pour élaborer les marchés publics conformes à la loi, etc.,

- des témoignages

- et bien d’autres ressources encore.

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Manger mieux et bouger plus au travail

Le Cnam-ISTNA et l'Unité d'Evaluation Médicale du CHRU de Nancy se sont associés sur la question de l’alimentation, de l’activité physique et de la lutte contre la sédentarité en milieu professionnel.

Ce projet sur trois ans, piloté par l’Institut du Cancer, doit favoriser le développement des compétences des professionnels de direction, des acteurs de la santé et de la sécurité des salariés, mais également des salariés eux-mêmes. Il doit également permettre le développement d’actions innovantes grâce à la mise en œuvre de l'intelligence collective.

Un site internet « Manger mieux Bouger plus au travail » a déjà vu le jour, il doit permettre de collecter et véhiculer les nouvelles idées. Un serious game « Carte sur table » y est proposé.

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Remettre les jeunes au sport

Plusieurs baromètres successifs CREDOC-UCPA ont mis en évidence que près d’un quart des jeunes de 16 à 25 ans déclare faire moins de trois fois par mois une activité physique ou sportive.

Les raisons évoquées sont de différents ordres : manque de temps, coût, difficulté de sociabilisation ou encore absence d’intérêt.

En outre, l’étude révèle que les jeunes peu ou pas sportifs semblent en moins bonne santé (maux de tête, mal de dos, nervosité, déprime) et que la crise sanitaire a favorisé surpoids et dépression.

Par contre, signe encourageant, depuis la sortie de crise, plus des deux tiers des non sportifs aimeraient pratiquer davantage d’activité physique.

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